L'éducation peut-elle changer la société?

Michael Apple, dans son nouveau livre, L'éducation peut-elle changer la société? (2013) nous demandera de réfléchir sérieusement au rôle de l'éducation en tant qu'outil intrinsèque pour générer un changement au niveau social. En réponse, il demande que nous examinions attentivement qui nous sommes, l’éducation sert qui, quelles sont nos meilleures qualités, nos expériences, comment les manipulations historique des universités américaines nous attire vers des voies différentes et comment toutes ces considérations relatives à la base de la connaissances nous affectent lorsque nous les influençons.

 Cette expression implique une fluctuation réversible entre les humains et les sociétés et les technologies qu’ils fabriquent pour s’y situer. Apple ne l'oublie pas un instant. En outre, tout en étudiant à quel point la réponse à la question du titre de son livre est compliquée et multilatérale, Apple reste fidèle aux questions et à l’humanité politique de ses prédécesseurs et sur cette base il rend ce livre personnel et plus expérimental. Apple invite le lecteur à faire ce qu’il fait tout le temps, à avoir se demander si les pensées, les exemples et les discussions de son livre sont basés sur les faits de la personne et de la société, et cela implique le lecteur dans la formation du sens.

Au début du livre, nous constatons que, bien que le vieillissement ait apporté une nouvelle compréhension de la douleur de l'arthrite et de l'invalidité chez Apple, il cherche à signer un document officiel qui est l'outil essentiel pour sa commodité et lui garantit une compréhension très personnalisée de ce que beaucoup de membres de la communauté sont obligés de supporter, maintenant et à l'avenir, à savoir un étiquetage qui les mènera de l’ordinaire au handicapé. Apple a déclaré qu'elle ne voyait pas le monde comme une personne handicapée, mais il a vu le document officiel qu’il a dû signer en tant qu'autocollant, intitulé moins que ce que je suis. Ce simple geste de signer ou d’expérimenter une telle étiquette l’a incité à écrire ainsi.