Les membres de parlement peuvent se mettre à cote des gérants de l’éducation en tant que soutien émotionnel.

Mohammad Bathaii : je suis fier d'être un serviteur du peuple et de demande aux parlementaires de ne pas laisser seule l’éducation dans la tourmente des problèmes, car leur présence sera encourageante pour les responsables de l'éducation.

Je ne me plains pas des critiques des députés parce que je crois que les membres du parlement sont en première ligne pour faire face aux problèmes de la communauté, donc parler des problèmes et faire les critiques sont très bons pour l'éducation et pour la formation.

Si l'état actuel de l'éducation se poursuit, même après trente ans, le ministre et les gérants de l’éducation vont devoir faire face aux mêmes problèmes, et l'éducation doit donc changer et réformer sa structure. Naturellement il va y avoir des résistances contre les réformes et je demande ainsi aux parlementaires d’aider le système éducatif pour qu’il puisse travailler mieux qu’avant.

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