L'étude a fourni des preuves supplémentaires que l'endroit, mesuré au niveau du comté, a une influence significative sur les perspectives économiques des enfants issus des familles à faible revenu.
Sara S. McLanahan, professeur de sociologie et des affaires publiques à la Woodrow Wilson School de Princeton des affaires publiques et internationales a dit: D'une manière générale, nos résultats suggèrent que les processus de développement par lequel lieu favorise la mobilité vers le haut commencent dans l'enfance et dépendent de la mesure dans laquelle les communautés enrichissent les compétences cognitives et socio-émotionnelles des enfants issus de familles à faible revenu.
Les résultats de l'étude sont basés sur les données des familles fragiles et à l'étude du bien-être des enfants, dont McLanahan elle même, directrice fondatrice du Centre Bendheim-Thoman pour la recherche sur le bien-être des enfants.
La nouvelle recherche se fonde sur une série de documents par l'économiste Raj Chetty de l'Université de Stanford et d'autres qui ont utilisé les données de l'impôt sur le revenu pour montrer que les perspectives économiques des enfants issus de familles à faible revenu dépendent de l'endroit où ils grandissent. Cependant, le travail de Chetty n'explique pas pourquoi les enfants qui grandissent dans certains comtés font mieux que d'autres.
Cette question a motivé McLanahan et ses collaborateurs. Ces chercheurs ont examiné 4226 enfants de 562 comtés américains pour leurs analyses dont les résultats de développement ont été évalués à environ les trois, cinq et neuf ans.
Les chercheurs ont divisé ces enfants en groupes à revenu faible et élevé en fonction du revenu de la famille à leur naissance. Les enfants de familles à faible revenu sont nés dans les ménages qui gagnent moins du revenu du ménage médian national (moyenne de 18282 $), tandis que les enfants issus de familles à revenu élevé sont nés dans des familles qui gagnent plus que la médiane nationale (moyenne de 73 762 $).
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