Replanification du curriculum national

Les deux articles précisent brièvement la raison supportive et une grande perspective des projets d’évolution de l’organisation à la base de derniers contenus qui ont déjà rédigé par rapport aux grandes pensées et aux discussions du conseil d’administration. Veuillez s’exprimer des clairvoyants, des professeurs universitaires et du séminaire et des spécialistes éducatifs et pédagogiques leurs point de vue après avoir observé ces articles.
Le texte intégral de l’un des deux articles d’Hodjatoleslam Zo-Elm, le vice-ministre et le directeur de l’organisation de la recherche et de la planification de l’éducation, nommé « la replanification du curriculum national, les impératifs et les perspectives » est présenté ci-dessous :

Le premier article : Replanification du curriculum national

Les impératifs et les perspectives:
Les arguments explicites des documents d’évolution pédagogique et éducative et particulièrement la ratification des objectifs éducatifs scolaires sont le devoir complexe et accablant en ce qui concerne l’organisation de la recherche et de la planification de l’éducation. Ce devoir n’est pas de réviser les documents d’évolution ou de rédiger des nouveaux documents mais cela est de replanifier du curriculum national. La replanification du curriculum national signifie la reconfiguration des curriculum nationaux actuels d’une manière innovative et aussi il faut que nous prenions en considération l’éducation sous tous les aspects en attachant de l’importance aux changements radicaux insérant dans la théorie principale de l’evolution.
La replanification du curriculum national sera de plus en plus inévitable sans tenir compte de l’exécution exhaustive du curriculum national et la mise en place les stratégies des documents d’évolution, notamment les politiques ordonnées par le guide suprême et les changements radicaux dans la théorie principale de l’évolution fondamentale. Sans changements optimaux au cadre du curriculum national dans l’intégralité des cours d’étude et la révision générale des titres, des leçons et du temps, ainsi est-il impossible à aboutir à l’éducation de tous les aspects et réaliser toutes les compétences de base.
Les 5 compétences de base -selon l’article 7 du curriculum national- dans 6 domaines éducatifs -mentionnant dans les fondements théoriques d’évolution- seront la fondation à replanifier les cours d’étude, considérant les capacités des enseignants, les besoins et les priorités de la société et la mise en valeur des expériences et les modèles pédagogiques des systèmes éducatifs avancés.
La réalisation des politiques générales de l’evolution dans le système éducatif en Iran tels que l’article 1 et notamment l’article 4 de ces politiques nécessitent de prendre la considération équilibrée et convenable à 11 domaines pédagogiques et éducatifs, ratifiant au cadre du curriculum national, de sorte qu’il accorde de l’importance du replanifier.

La dimension de la replanification du curriculum national :
La replanification des cours d’étude dénote l’observation et la révision de l’intégralité du curriculum national actuel, critiquer et découvrir les points faibles et la reformation général de tous les aspects de ce plan tant qu’il faut considérer les deux éléments « le contenu » et « l’évaluation » en conformité avec les objectifs ratifiés au long de cette marche. En plus, vu la possibilité des changements d’une façon raisonnable au sujet de ces deux éléments, l’exécution pourra donc influencer et modifier.
Aujourd’hui, c’est hélas qu’il y a tant d’écart entre les curriculums nationaux et éducatifs et les modèles théoriques étant évolues à l’échelle du système de curriculum national (la théorie principale de l’évolution de la page 372 à la page 375) suivi des contradictions en ce qui concerne les changements radicaux selon (la page 415 à 417) et les règlements surveillant les curriculums nationaux et leurs modèles de cibler en conformité avec le document des programmes éducatifs nationaux (ratifié en 1392) qui résulte de ne pas réaliser leurs objectifs idéals au cadre de ce document national s’il n’y a pas de replanification radical du curriculum national et éducatif.

Les lacunes actuelles :
Voici les lacunes les plus vitales trouvant dans les curriculums courants de toutes les classes que l’on a déjà réalisés :
- Ne pas faire assez attention à quelques aspects éducatifs plus importants comme les aspects morals, artistiques, physiques… ;
- L’ignorance envers les différences régionales et géographiques pour préparer le curriculum national ;
- Manque d’intérêt à utiliser les ambiances variées et efficaces ;
- Le manque d’efficacité à évaluer quant aux plans et à découvrir les arguments ratifiés du système ;
- Enrichir les plans des activités collectives tels que faire des campagnes ;
- Le déséquilibre entre les contenus éducatifs et les besoins des élèves ;
- La négligence envers quelques principes dans la vie quotidienne comme les étiquettes, la famille, le travail ;
- Des avantages et des inconvénients des concours individuels ;
- Le manque de conformité et d'intégration des curriculums ;
- L’apprentissage au cadre des livres au lieu duquel proposé et informel ;
- Les enseignants négligés et dans l’anonymat aux domaines pédagogiques et éducatifs ;
- Ne pas profiter de l’environnent et des opportunités ;
- Omettre les besoins concernant chaque région et le manque de participation aux nouvelles idées et initiatives.

Les nécessités :
Ce qu’il faut changer quant à la replanification du curriculum national, comprend tous les aspects des objectifs, du contenu, de l’exécution et de l’évaluation. Bien entendu, les objectifs ratifiés du conseil supérieur de l’éducation pouvaient quasiment réaliser les changements des objectifs ; cependant, étant donné certaines lacunes dans les objectifs ratifiés, cela demandera de les réviser. Mais les deux aspects « le contenu » et « l’évaluation » doivent être l’axe des changements. C’est pourquoi la révision de l’exécution du curriculum national – à l’échelle communale, régional et de l’école - dépendent majoritairement des changements et des révisions par rapport au contenu et à l’évaluation. Certaines de ces nécessités sont communes et comprennent toutes les filières et les matières et des autres sont spécialisées pour chaque cours. Voici les nécessités plus communs qui sont présentés ci-dessous :
1- La clarification de l’identité des cours d’étude et leurs objectifs ;
2- L’institutionnalisation et l’expansion du « programme scolaire particulier » des cours d’étude comme les horaires officielles et principales de la pédagogie et de l’éducation ;
3- La mise en équilibre sous trois aspects prescriptif, demi-prescriptif et non-prescriptif pour le curriculum national ;
4- La participation du système pédagogique et éducatif des communes et des régions à la planification quelques parties du curriculum national et de la production des packages d’apprentissage ;
5- La planification des packages d’apprentissage convenable avec la combinaison équilibrée de contenu varié tels que le livre, les vidéos pédagogiques, le spectacle et ensemble des activités collectives et la visite ;
6- L’élimination et l’allègement maximal le rôle du livre dans quelques domaines éducatifs et pédagogiques comme les étiquettes et la manière de vie, la pensée et la sagesse, le travail et l’innovation et au lieu de ce fait, la mise en planification et production des packages d’apprentissage et d’instruction pour les enseignants, les instructeurs, les directeurs et les consultants ;
7- Equilibrer des packages d’apprentissage avec les activités axiales au lieu de l’inactivité et les méthodes inflexibles ;
8- La contextualisation maximale pour la participation les communes, les conseils, les établissements et les associations puissants et compétents et les organisations non-gouvernemental dans la production des packages éducatifs et pédagogiques (à la base des schémas, du curriculum national et des normes ratifiés) ;
9- Accréditer le rôle des écoles pour l’approvisionnement et la production quelques parties du curriculum national selon les documents d’évolution .
Aujourd’hui, il y a malheureusement un grand écart entre la condition idéal et l’approche dominante des évaluations et des examens notamment l’examen de Concours, certains examens nationaux du système pédagogique et éducatif pour les écoles particulières et des surdoués et même les examens donnant à l’école ou dans la classe. Il est donc besoin des changements fondamentaux, outre ces points mentionnés dans la replanification du curriculum national à l’échelle de l’évaluation, qui sont présentés ci-dessous :
1- Changer la concurrence individuelle et tendue en concurrence collective et d’excellence ;
2- Mettre en priorité l’acquisition des compétences dans tous les domaines éducatifs au lieu de mémoriser et accumuler seulement les informations ;
3- Réduire au minimum le contrôle externe et le transformer au contrôle interne ;
4- Éloigner de « l’apprentissage par thèmes » et approcher du « processus de l’acquisition des aptitudes et des savoir-faire » .

Par la suite, si le système, les processus et les manières de l’évaluation orient vers ces changements mentionnés, considérant la replanification du curriculum national et éducatifs des cours, nous acquerons la meilleure évolution et les conséquences nocives sociales, éducatives et psychologiques des examens d’aujourd’hui particulièrement l’examen de Concours seront décrus.

La replanification du premier cycle d’enseignement primaire :
C’est évident que la première étape de la replanification du curriculum national et éducatif des cours d’étude est le cycle d’enseignement primaire. De ce fait, il faut critiquer et évaluer l’état actuel du cours préscolaire et les trois premiers cycles d’enseignement primaire et réviser et replanifier la généralité du curriculum national et éducatif au cadre des nécessites mentionnées. Sauf les lacunes communes qui sont déjà insérés, il y a aussi des autres lacunes, particulièrement pour le premier cycle d’enseignement primaire qui sont présentés ci-dessous :
- La négligence envers les apprenants des régions bilingues dans l’enseignement la langue persane ;
- La multiplicité excessive des titres et des livres pédagogiques ;
- Le manque des jeux, des contes, des observations, des spectacles et des vidéos pour la réalisation des objectifs ;
- Le manque d’équilibre des horaires selon les capacités des apprenants notamment par rapport au premier cycle d’enseignement primaire ;
- Le manque d’emploi des capacités des parents à l’exécution des plans.
Vu ces lacunes et l’attention aux manque communs pour la replanification de reconfiguration du curriculum national et éducatif du cours du premier cycle d’enseignement primaire et en outre les nécessités communes qui sont déjà mentionnés, il faut que nous considérions les points ci-dessous :
- La planification et la production des packages d’apprentissage entièrement différents quant aux apprenants des régions bilingues pour le premier cycle d’enseignement primaire de façon à avoir des packages d’apprentissages communs à partir du deuxième cycle ;
- L’attention aux cours multi niveau et leurs flexibilités des plans ;
- L’attention aux différences entre le premier cycle et les deuxième et troisième cycle d’enseignement primaire (premièrement, les apprenants du premier cycle font l’expérience pour la première fois et deuxièmement ils sont au cours de la dernière année des sept premières années - selon la tradition islamique, c'est la période de la souveraineté des enfants- . Donc, le temps de l’enseignement de ce cycle doit doter d’une flexibilité maximale.) ;
- L’attention à enseigner les parents (notamment qui sont en état du premier enfant) et aider à augmenter la participation et de la synergie éducative des écoles et des familles.

La replanification du curriculum national et éducatif pour le deuxième cycle d’enseignement secondaire théorique simultanément de la replanification du premier cycle d’enseignement primaire :
La replanification fondamentale du curriculum national et éducatif du deuxième cycle d’enseignement secondaire nécessite de nouvelle exécution du curriculum national et éducatif et de la replanification ce dont déjà fait, tandis qu’il prend longtemps de parvenir à cette étape. Résultat, en replanifiant du curriculum national et éducatif des trois premiers années d’enseignement primaire comme une grande démarche d’évolution, prenant du curriculum national et éducatif actuel, nous révisions le curriculum du deuxième cycle d’enseignement secondaire à l’échelle de modifier les titres, le temps, la qualité de l’exécution et l’évolution … et ensuite, nous le replanifions en tant qu’une étape intermédiaire.
C’est-à-dire, les apprenants gradués de la neuvième année d’enseignement secondaire feront leurs études dans ces trois filières avec un diffèrent curriculum national et éducatif et dans ce domaine certaines de ces atteintes et les défis actuels pourraient rapidement éliminer. Évidemment, la replanification des cours précédents et leurs exécutions précèdent la dernière replanification du cours présent. Ici, il est indispensable de considérer les atteintes et les nécessites ci-dessous pour la replanification des cycles d’enseignement secondaire technique et professionnel et du travail et de la connaissance :
1- Délaisser la généralisation des filières technique et professionnel ;
2- La non-conformité entre le temps d’étude avec les besoins et les normes recevables et réels ;
3- La répétition monotone de certains matériels éducatifs qui sont certainement passés jusqu’à la neuvième année ;
4- La concentration sur la compétence scientifique et technique et l’ignorance envers les autres compétences de base.

Les nécessités :
1- Eclaircir des objectifs de la filière technique et professionnel et leurs différer avec laquelle du travail et de la connaissance ;
2- La contextualisation pour le développement maximal dans les filières du travail et de la connaissance en rapport avec les besoins du marché du travail et les demandes des employeurs ;
3- La contextualisation pour le développement de la participation maximale de l’industrie, de l’agriculture et des services… pour le développement et l’efficacité de la filière technique et professionnel ;
4- Changer du curriculum national à la base du contexte au curriculum national à laquelle de la compétence et de l’aptitude pratique ;
5- La révision du curriculum national actuel et la concentration sur le contenu surveillant des objectifs des filières technique et professionnel et du travail et de la connaissance ;
6- La réalisation de vision solidaire et combinée et aussi l’approche de généralisation ;
7- L’accent sur le contenu ayant les points communs maximaux dans la filière technique et professionnel d’une part et la spécialisation maximale dans la filière du travail et de la connaissance d’autre part ;
8- L’abandon total et la mise en exécution la filière du travail et de la connaissance aux centres productifs, industries, de l’agriculture et des services … particulièrement des entreprises du savoir adoptant des politiques et des processus d’encouragement et de soutien.

Les considérations exécutives :
La replanification du curriculum national et éducatif des cours d’étude exige les nécessités et les prérequis afin d’éliminer les atteintes et de réaliser les compétences mentionnées. Voici les deux éléments les plus importants que nous en avons discutés au-dessus :
1- La replanification et la reconfiguration du curriculum national et éducatif des cours d’étude et en même temps, équilibrer et la replanification des structures des ressources humaines, les espaces pédagogiques et éducatives, les équipements, les managements, les règlements administratifs, financiers, disciplinaires… à la base des arguments des sous-système de management, de ressource humaine, d’ambiance et d’équipement ;
2- La responsabilisation du management et des personnels enseignants (des écoles primaires, des lycées, des écoles d’art) pour une participation active au curriculum national et éducatif de l’école sous l’aspect non-prescriptif et l’attention aux autorités et aux responsabilités au cadre de l’indice « l’école de vie » et des arguments des documents d’évolution et du curriculum national.

En respectant des principes scientifiques et en participant toutes les références et les sections intéressées et compétentes à la planification ces cours et encore les ratifier dans les autorités légales et la planification pour les exécuter progressivement, l’organisation de la recherche faut accomplir sa mission de ce sujet.

Que Dieu le veuille.

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